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Angèle Guerre - plasticienne
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Valérie Henry

vh@valeriehenry.com

News

Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les corps sauvages », cuir, papier et métal, dimensions variables.
Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les corps sauvages », cuir, papier et métal, dimensions variables.
Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les corps sauvages », cuir, papier et métal, dimensions variables.
Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les corps sauvages », cuir, papier et métal, dimensions variables.
Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les terres troubles », papiers incisés au scalpel et pastel, dimensions 107 x 150cm.
Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les terres troubles », papiers incisés au scalpel et pastel, dimensions 107 x 150cm.
Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les terres troubles », papiers incisés au scalpel et pastel, dimensions 107 x 150cm.
Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les terres troubles », papiers incisés au scalpel et pastel, dimensions 107 x 150cm.
Angèle Guerre, plasticienne, novembre 2021, « Les terres troubles », papiers incisés au scalpel et pastel, dimensions 107 x 150cm.
Angèle Guerre, artiste plasticienne, décembre 2021, «Les Tendres textes » pour le Mandarin Oriental, Luzerne, incisions au scalpel sur papier. 23 oeuvres de 80 x120cm.
Angèle Guerre, artiste plasticienne, décembre 2021, «Les Tendres textes » pour le Mandarin Oriental, Luzerne, incisions au scalpel sur papier. 23 oeuvres de 80 x120cm.
Angèle Guerre, artiste plasticienne, décembre 2021, «Les Tendres textes » pour le Mandarin Oriental, Luzerne, incisions au scalpel sur papier. 23 oeuvres de 80 x120cm.
Angèle Guerre, artiste plasticienne, décembre 2021, «Les Tendres textes » pour le Mandarin Oriental, Luzerne, incisions au scalpel sur papier. 23 oeuvres de 80 x120cm.
Angèle Guerre, artiste plasticienne, décembre 2021, «Les Tendres textes » pour le Mandarin Oriental, Luzerne, incisions au scalpel sur papier. 23 oeuvres de 80 x120cm.
Angèle Guerre, artiste plasticienne, décembre 2021, «Les Tendres textes » pour le Mandarin Oriental, Luzerne, incisions au scalpel sur papier. 23 oeuvres de 80 x120cm.
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2021, « Tendre texte #9», Art Paris – Art Fair, Grand Palais Éphémère
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2021, « Tendre texte #9», Art Paris – Art Fair, Grand Palais Éphémère
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2021, installation cuir suspendue, Art Paris – Art Fair, Grand Palais Éphémère
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. La chute d’Icare est suspendue, devient éclosion, les ailes se déploient dans l’espace. © photos Alex Jonas
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. Les peaux se donnent à voir « au-dessus comme au-dessous », ou en chinois : « Shang Xia ». © photos Alex Jonas
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. La chute d’Icare est suspendue, devient éclosion, les ailes se déploient dans l’espace. © photos Alex Jonas
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. La chute d’Icare est suspendue, devient éclosion, les ailes se déploient dans l’espace. détails © Jacques Philippot
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. Les peaux se donnent à voir « au-dessus comme au-dessous », ou en chinois : « Shang Xia ». détails © Jacques Philippot
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. La chute d’Icare est suspendue, devient éclosion, les ailes se déploient dans l’espace.
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. La chute d’Icare est suspendue, devient éclosion, les ailes se déploient dans l’espace. détails © Jacques Philippot
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. Les peaux se donnent à voir « au-dessus comme au-dessous », ou en chinois : « Shang Xia ». détails © Jacques Philippot
Angèle Guerre, artiste plasticienne, septembre 2020, « La chute suspendue », installation inspirée du mythe d’Icare, boutique Shang Xia, Hermès Group, 8 rue de Sèvres, Paris. La chute d’Icare est suspendue, devient éclosion, les ailes se déploient dans l’espace. détails © Jacques Philippot
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Nu Orné », dimensions 34 x 74 cm. Incisions au scalpel sur papier et feuilles d’or. Ces papiers sculptés au scalpel, réalisés pour l’Hôtel Parklane à Chypre ont été réhaussés de feuilles
d’or, points de lumière et de reliefs.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Nu Orné », dimensions 48 x 38 cm. Incisions au scalpel sur papier et feuilles d’or. Ces papiers sculptés au
scalpel, réalisés pour l’Hôtel Parklane à Chypre ont été réhaussés de feuilles
d’or, points de lumière et de reliefs.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Nu Orné », dimensions 34 x 74 cm. Incisions au scalpel sur papier et feuilles d’or. Ces papiers sculptés au
scalpel, réalisés pour l’Hôtel Parklane à Chypre ont été réhaussés de feuilles
d’or, points de lumière et de reliefs.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Nu Orné », dimensions 34 x 74 cm. Incisions au scalpel sur papier et feuilles d’or. Ces papiers sculptés au scalpel, réalisés pour l’Hôtel Parklane à Chypre ont été réhaussés de feuilles
d’or, points de lumière et de reliefs.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Nu Orné », dimensions 34 x 74 cm. Incisions au scalpel sur papier et feuilles d’or. Ces papiers sculptés au scalpel, réalisés pour l’Hôtel Parklane à Chypre ont été réhaussés de feuilles
d’or, points de lumière et de reliefs.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Nu Orné », dimensions 34 x 74 cm. Incisions au scalpel sur papier et feuilles d’or. Ces papiers sculptés au scalpel, réalisés pour l’Hôtel Parklane à Chypre ont été réhaussés de feuilles
d’or, points de lumière et de reliefs.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Tendre Texte », dimensions 1m35 x 2m50. Papiers incisés au scalpel. Tendre texte reproduit instinctivement des gestes immémoriaux. Tailler, couper dans la masse, piquer, ce sont aussi des gestes de couturière ou de relieur : un travail d’écrivain. Le dessin s’aborde comme un artisanat où s’invente une écriture.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Tendre Texte », dimensions 1m35 x 2m50. Papiers incisés au scalpel. Tendre texte reproduit instinctivement des gestes immémoriaux. Tailler, couper dans la masse, piquer, ce sont aussi des gestes de couturière ou de relieur : un travail d’écrivain. Le dessin s’aborde comme un artisanat où s’invente une écriture.  Le dessin s’aborde comme un artisanat où s’invente une écriture.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Tendre Texte », dimensions 1m35 x 2m50. Papiers incisés au scalpel. Tendre texte reproduit instinctivement des gestes immémoriaux. Tailler, couper dans la masse, piquer, ce sont aussi des gestes de couturière ou de relieur : un travail d’écrivain. Le dessin s’aborde comme un artisanat où s’invente une écriture.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Tendre Texte », dimensions 1m35 x 2m50. Papiers incisés au scalpel. Tendre texte reproduit instinctivement des gestes immémoriaux. Tailler, couper dans la masse, piquer, ce sont aussi des gestes de couturière ou de relieur : un travail d’écrivain. Le dessin s’aborde comme un artisanat où s’invente une écriture.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Tendre Texte », dimensions 1m35 x 2m50. Papiers incisés au scalpel. Tendre texte reproduit instinctivement des gestes immémoriaux. Tailler, couper dans la masse, piquer, ce sont aussi des gestes de couturière ou de relieur : un travail d’écrivain. Le dessin s’aborde comme un artisanat où s’invente une écriture.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Tendre Texte », dimensions 1m35 x 2m50. Papiers incisés au scalpel. Tendre texte reproduit instinctivement des gestes immémoriaux. Tailler, couper dans la masse, piquer, ce sont aussi des gestes de couturière, de relieur ou de boucher : un travail de manutention précis, celui de l’écrivain aussi. Le dessin s’aborde comme un artisanat où s’invente une écriture.
Angèle Guerre, plasticienne, juillet 2019, « Souples, un souffle », dimensions 5m x 3m. Installation de métal, cuirs et papiers incisés. Sculpture réalisée in situ pour l’exposition « Y Croître » au CACLB, Centre d’Art Contemporain du Luxembourg belge, Mautauban, Belgique. © photo J-P. Ruelle
Angèle Guerre, plasticienne, juillet 2019, « Souples, un souffle », dimensions 5m x 3m. Installation de métal, cuirs et papiers incisés. Sculpture réalisée in situ pour l’exposition « Y Croître » au CACLB, Centre d’Art Contemporain du Luxembourg belge, Mautauban, Belgique. © photo J-P. Ruelle
Angèle Guerre, plasticienne, juillet 2019, « Souples, un souffle », dimensions 5m x 3m. Installation de métal, cuirs et papiers incisés. Sculpture réalisée in situ pour l’exposition « Y Croître » au CACLB, Centre d’Art Contemporain du Luxembourg belge, Mautauban, Belgique. © photo J-P. Ruelle
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Grandes Mues », dimensions 97 x 97 cm. Incisions au scalpel sur papier. Œuvres réalisées à l’Hôtel de Paris, Monaco.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Grandes Mues » détails, dimensions 97 x 97 cm. Incisions au scalpel sur papier. Œuvres réalisées à l’Hôtel de Paris, Monaco.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Grandes Mues » détails, dimensions 97 x 97 cm. Incisions au scalpel sur papier. Œuvres réalisées à l’Hôtel de Paris, Monaco.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Grandes Mues », dimensions 97 x 97 cm. Incisions au scalpel sur papier. Œuvres réalisées à l’Hôtel de Paris, Monaco.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Grandes Mues », dimensions 97 x 97 cm. Incisions au scalpel sur papier. Œuvres réalisées à l’Hôtel de Paris, Monaco.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Grandes Mues » détails, dimensions 97 x 97 cm. Incisions au scalpel sur papier. Œuvres réalisées à l’Hôtel de Paris, Monaco.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Par ailleurs ». Impressions sur plexiglas, vernis miroir, adhésif. Œuvres réalisées dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Par ailleurs ». Impressions sur plexiglas, vernis miroir, adhésif. Œuvres réalisées dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Par ailleurs ». Impressions sur plexiglas, vernis miroir, adhésif. Œuvres réalisées dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Par ailleurs ». Impressions sur plexiglas, vernis miroir, adhésif. Œuvres réalisées dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence. © Jacques Philippot
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Par ailleurs ». Impressions sur plexiglas, vernis miroir, adhésif. Œuvres réalisées dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence. © Jacques Philippot
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Par ailleurs ». Impressions sur plexiglas, vernis miroir, adhésif. Œuvres réalisées dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence. © Jacques Philippot
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Souples, un souffle », dimensions 2m x 4m. Installation de métal, cuirs et papiers incisés. Installation réalisée dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Souples, un souffle », dimensions 2m x 4m.  Installation de métal, cuirs et papiers incisés. Installation réalisée dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence.
Angèle Guerre, plasticienne, 2019, « Souples, un souffle », dimensions 2m x 4m.  Installation de métal, cuirs et papiers incisés. Installation réalisée dans le cadre de la résidence de création à la Chapelle des Pénitents Blancs de Vence.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Les Mues ».  Papiers incisés au scalpel et clous. Vue de l’exposition « Quand soudain », Galerie Graphem, avril 2018. Les mues sont des formes mutantes tirées du travail « Tendre texte ». Ce sont des peaux de papier presqu’animales. Épinglées là, elles dansent.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Les Mues ». Papiers incisés au scalpel et clous. Vue de l’exposition « Quand soudain », Galerie Graphem, avril 2018. Les mues sont des formes mutantes tirées du travail « Tendre texte ». Ce sont des peaux de papier presqu’animales. Épinglées là, elles dansent.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Les Mues ». Papiers incisés au scalpel et clous. Les mues sont des formes mutantes tirées du travail « Tendre texte ». Ce sont des peaux de papier presqu’animales. Épinglées là, elles dansent.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Les Mues ». Papiers incisés au scalpel et clous. Les mues sont des formes mutantes tirées du travail « Tendre texte ». Ce sont des peaux de papier presqu’animales. Épinglées là, elles dansent.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Les Mues ». Papiers incisés au scalpel et clous. Les mues sont des formes mutantes tirées du travail « Tendre texte ». Ce sont des peaux de papier presqu’animales. Épinglées là, elles dansent.
Angèle Guerre, plasticienne, 2018, « Les Mues ». Papiers incisés au scalpel et clous. Les mues sont des formes mutantes tirées du travail « Tendre texte ». Ce sont des peaux de papier presqu’animales. Épinglées là, elles dansent.
Angèle Guerre, plasticienne, 2015 à 2016, « Miroir, Étain », dimensions 91,5cm x 125 cm. Miroir en étain, papier et encre de chine. A partir de miroirs anciens dont le tain est oxydé, le jeu consiste à interpénétrer un reflet réel et une fiction graphique. Il s’agit dans ce travail de véritablement passer de l’autre côté du miroir, creuser le tain et refaire le monde.
Angèle Guerre, plasticienne, 2015 à 2016, « Miroir, Étain », dimensions 91,5cm x 125 cm. Miroir en étain, papier et encre de chine. A partir de miroirs anciens dont le tain est oxydé, le jeu consiste à interpénétrer un reflet réel et une fiction graphique. Il s’agit dans ce travail de véritablement passer de l’autre côté du miroir, creuser le tain et refaire le monde.
Angèle Guerre, plasticienne, 2015 à 2016, « Miroir, Étain », dimensions 91,5cm x 125 cm. Miroir en étain, papier et encre de chine. En retirant la matière, l’artiste fait apparaître des couches de paysage. Son travail relève d’une forme d’archéologie. Elle creuse la matière pour faire apparaître différentes strates d’un monde purement minéral et végétal.

 

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